Expérience du Niger avec le projet PNUE BCH II
Ce projet de l'expérience du Niger avec le PNUE dénommé «Expérience du Niger avec le projet PNUE BCH II» est une approche de formation de formateurs de la République du Niger et l'objectif mondial est de promouvoir le rôle du monde universitaire dans l'intégration de la question de la biosécurité.
Niger Situé en Afrique de l'Ouest.
NIGER a achevé le projet PNUE / FEM «Cadre national de prévention des risques biotechnologiques» et a réalisé le «Projet PNUE / FEM pour le renforcement des capacités pour une participation efficace au Centre d'échange pour la prévention des risques biotechnologiques» (Projet BCH).
Contributions :
• Grande amélioration de l'expertise BCH (120 formateurs au total formés);
• Amélioration de la synergie entre le point focal national du CEPRB et les utilisateurs nationaux autorisés pour l'enregistrement des enregistrements nationaux;
• Le point focal national du BCH peut facilement mettre à jour et compléter les dossiers nationaux du BCH (personnes de contact, lois, directives, décisions et déclarations, rapports, etc.);
• Implication de l'Université Abdou Moumouni de Niamey dans la formation en biosécurité et BCH.
II. Promouvoir le rôle du monde universitaire dans l'intégration des questions de biosécurité:
• 10 enseignants de la Faculté d'Agronomie et de la Faculté des Sciences de l'Université Abdou Moumouni de Niamey ont participé au programme de formation BCH II;
• Des études de cas et des modules interactifs de BCH sont utilisés dans le programme de Master en biodiversité de la Faculté des Sciences;
• Le Point Focal National du BCH est impliqué dans le programme de Master Biodiversité à la Faculté des Sciences (36 heures de cours);
• Transfert de connaissances des ateliers de formation BCH pour les enseignants de l'Université de Niamey.
III. Soutenir l'établissement de rôles de partage d'informations
• Mise en place d'un réseau de partage d'expériences sur la mise en œuvre du Protocole de Cartagena entre formateurs dans les 8 régions du pays;
• Information et sensibilisation sur l'utilisation du portail BCH central pour les parties prenantes nationales;
• Partage d'informations entre les formateurs par le biais de revues environnementales, d'articles, d'affiches et du Centre d'échange du Niger (CHM).
CONCLUSION
Le projet BCH II a atteint les principaux objectifs de renforcement des capacités des différentes parties prenantes du pays. Les outils matériels et les modules de formation BCH sont utilisés à l'Université pour développer les capacités humaines liées à la biosécurité et à la biotechnologie.
Cette expérience a été utile au Niger et doit se poursuivre à l'avenir pour permettre au pays de disposer d'une masse critique de ressources humaines pour le développement durable.